Le blog du Muuch

Ici, chaque article est une invitation à explorer, ressentir et s’inspirer. 

Bonne lecture et bienvenue dans mon univers !

Voyage improvisé.

On a décidé de partir.

Comme ça, sur un coup de tête. Pas de longues réflexions, pas de listes minutieusement préparées, juste une certitude : on a besoin d’un break.

Hier après-midi, j’ai reçu un message de mon mari. « Ça te dit de partir après-demain ? Si t’es OK,on book ce soir. »

J’ai souri.

Avant, c’était notre truc, les voyages de dernière minute, les décisions prises sur un coup de tête, les billets réservés sans trop y penser. Ça faisait longtemps. Trop longtemps. Alors j’ai répondu oui sans réfléchir.

Et ça m’a fait du bien, cette spontanéité.

Depuis le milieu de l’automne, on enchaîne les virus comme d’autres enchaînent les épisodes de leur série préférée. Fièvre, toux, nez qui coule… Un cycle sans fin où, à peine remis, on replonge dans une nouvelle vague.

Pas de jaloux, on partage tout : elle tombe malade, on suit, parfois même on la devance. La crèche, c’est génial pour l’éveil, la socialisation, l’apprentissage. Mais c’est aussi un festival de microbes en libre-service, et honnêtement, je suis fatiguée de la voir malade.

Alors cette semaine, j’ai décidé de la garder avec moi. Une pause. Et miracle : son nez ne coule plus. Pour la première fois depuis des semaines, elle respire normalement, et nous aussi. Pas d’énième rhume, pas de fièvre qui monte en pleine nuit, pas de petit nez rougi à essuyer. Juste un moment d’accalmie, une sensation étrange de stabilité.

Ça ne durera sûrement pas, mais on s’y accroche.

Alors on part. Notre vol est à 15h demain. Rien n’est prêt. Absolument rien. La valise est encore vide, et moi, je suis clouée sur le canapé avec ma fille endormie contre moi, incapable d’avancer. Mais tant pis. On prendra l’essentiel pour elle, et pour le reste, on improvisera.

Là, maintenant, c’est ça qui compte. Une respiration. Une parenthèse. Un peu de soleil, peut-être, ou au moins un autre air à respirer. Un peu de distance avec ce quotidien où l’on jongle entre boulot, couches, biberons et thermomètres.

On verra bien. Mais on y va.

A bientôt !

Le Muuch.

Une histoire d’amour.

On savait que ce serait intense, on nous l’avait dit.

Avant, on voyait ces parents au regard vide, ces gens qui disaient « oui, c’est épuisant, mais ça en vaut la peine » avec un sourire un peu flou. On hochait la tête, sceptique.

Et puis, un jour, on comprend.

Les journées sont longues, mais elles ne nous appartiennent plus. Chaque minute est absorbée par un petit être qui réclame tout, sans attendre, sans négociation.

Il y a les réveils nocturnes, plus rares qu’avant, mais toujours là, imprévisibles.

Il y a ces fièvres qui s’invitent sans prévenir, ces nuits passées à scruter un front brûlant, à compter les heures entre deux doses de Perdolan, à écouter une respiration un peu trop sifflante en se demandant si c’est grave.

Il y a les jours où la fatigue s’accumule en strates invisibles, où l’on enchaîne les tâches mécaniquement, un pied dans le réel, l’autre dans une somnolence perpétuelle.

Et il y a surtout cette présence qu’on ne peut pas lâcher. Une pièce trop vide, un pas trop loin, et c’est le drame. Impossible de s’éclipser, de disparaître ne serait-ce qu’une minute sans voir ces petits yeux s’embuer, sans entendre cette détresse absolue, déchirante, qui nous cloue sur place.

Alors on reste. 

Parce que la séparation, même pour quelques secondes, est une déchirure qu’on n’a pas le cœur d’imposer.

On ajuste tout, on s’adapte, on devient maître dans l’art de tout faire d’une seule main, de manger avec un bébé sur les genoux, de répondre à un message en jouant avec une peluche, de repousser l’idée même d’avoir du temps pour soi. 

On croit qu’on ne tiendra pas. Que la fatigue va nous briser en deux.

Et pourtant…

Il y a l’autre côté.

Il y a ce regard.

Ce regard qui nous cherche, nous trouve, s’accroche à nous. Ces grands yeux qui nous transpercent, qui nous disent, sans un mot, qu’on est tout. Tout son monde, tout son réconfort, tout ce qui compte.

Il y a ces mains minuscules qui nous agrippent avec la force d’un amour absolu. Ce poids minuscule contre notre torse, cette chaleur qui diffuse un sentiment de plénitude qu’on n’a jamais connu ailleurs.

Il y a ces rires, ces rires démesurés, éclatants, qui explosent comme un feu d’artifice en plein cœur.

Et alors tout s’équilibre. Ou tout bascule.

On sait qu’on est fatigué, qu’on aimerait souffler. Mais on sait aussi que ces jours, ces nuits, ces bras qui ne veulent pas nous lâcher, finiront par nous manquer.

On comprend que ces jours et ces nuits, aussi longs, aussi éprouvants soient-ils, on voudra un jour les revivre. Juste une fois. Juste un instant.

Alors on continue. Pas toujours avec entrain, mais toujours avec amour.

Parce qu’au fond, c’est ça, l’histoire.

On se souvient de ces parents épuisés qui nous disaient ça en vaut la peine. On se souvient qu’on avait du mal à les croire.

Et on comprend enfin.

On donne tout, et on reçoit plus encore.


Le Muuch.

Ces petits rêves enfouis.

J’aurais aimé être de celles qui créent. Qui sculptent, qui cousent, qui écrivent, qui peignent, qui transforment une idée en quelque chose de concret. Un atelier, du soleil qui traverse les vitres, un espace à moi. Pas de réunions, pas de délais, pas d’agenda surchargé. Juste du temps, de la matière et l’élan du moment.

Je m’imagine. Pieds nus sur un parquet qui craque, une tasse de thé tiède sur la table, un carnet ouvert, des pages griffonnées à la hâte. Des mains qui s’agitent, qui découpent, qui façonnent. L’esprit concentré, absorbé, porté par ce que certains appellent le flow. Ce moment où plus rien d’autre ne compte, où l’on oublie de regarder l’heure. Où l’on est juste là, totalement.

J’aimerais une vie où les journées ne filent pas comme du sable entre les doigts. Où le matin commence lentement, sans précipitation. Où l’après-midi ne disparaît pas en une succession d’obligations. Une vie où l’on prend le temps de respirer, d’écouter le vent, de sentir la chaleur du soleil sur la peau sans culpabiliser.

J’aimerais ne plus avoir cette sensation de toujours courir après quelque chose, sans même savoir quoi. Ne plus passer mon temps à jongler entre mille tâches, à remplir mes journées de cases à cocher. J’aimerais des silences qui ne soient pas vides, mais pleins. Pleins d’idées, de calme, de ce petit frisson qu’on ressent quand on est exactement là où on doit être.

Est-ce que j’idéalise ? Peut-être. 

Surement même que cette vie-là aussi a ses contraintes. Que même dans un atelier lumineux, il y aurait des jours sans inspiration. Que la liberté totale, c’est aussi un peu vertigineux. Que le doute ne disparaît jamais vraiment.

Et alors ?

Peut-être que ce sera plus chaotique, plus incertain, plus difficile que prévu. Peut-être que certains jours, je regretterai l’organisation millimétrée, la stabilité rassurante.

Mais peut-être aussi que ce sera mieux. Plus vrai. Plus moi.

Un jour, ce ne sera plus une envie vague, un scénario que je me joue dans la tête. Ce ne sera plus une conversation que je repousse, un projet que je laisse en suspens.

Un jour, ce sera mon quotidien ?

Le Muuch.

Neuf mois.

Mon tout petit bébé,

Neuf mois dedans, neuf mois dehors. Comme une symétrie parfaite, un équilibre fragile où le temps semble avoir filé à la fois trop vite et avec la lenteur  des instants que l’on savoure pleinement. Neuf mois à t’attendre, à imaginer ton visage, à me demander qui tu serais. Neuf mois à te découvrir, à réaliser chaque jour que tu es bien là, que je ne rêve pas.

Tu es la plus belle chose qui me soit arrivée. Et ce qui est fou, c’est que chaque jour, je te regarde en me disant : « C’est vrai, elle est là. Elle existe. » Comme si mon cœur, lui, n’en revenait toujours pas d’avoir eu cette chance.

Depuis le premier jour, tu es facile. Facile à aimer, facile à vivre, facile à contempler. Tu es un petit être lumineux qui éclaire tout autour de toi. Déjà, tu te mets debout avec la détermination de quelqu’un qui a décidé que la gravité, très peu pour elle. Être allongée ? Inconcevable. Depuis toujours, tu veux être debout, dans le mouvement, dans la découverte. Curieuse de tout, attentive, intelligente, drôle. Et belle. Belle à en couper le souffle. Tu as cette manière de nous regarder, de détailler tout ce qui t’entoure, d’observer.

Tu aimes manger (et je dois dire que c’est une passion que nous partageons). Les chansons t’enchantent, lever les bras pour une hola improvisée t’amuse, faire coucou te ravit. Tu es une fête à toi toute seule.

La nuit, tu dors contre moi. Je sais, ce n’est pas dans les recommandations officielles, mais j’ai trouvé notre équilibre. Ton petit matelas borde le lit, ma couverture reste loin, et surtout, chaque nuit, quand tu cherches ma main, quand tu te niches tout contre moi, la paix s’installe. Et moi, je fonds, un peu plus chaque fois. De bonheur, d’amour, de cette tendresse absolue qui n’appartient qu’aux nuits partagées entre une mère et son enfant.

Je t’aime depuis le premier jour. Cet amour au premier regard, celui qui vous renverse, vous souffle et vous donne une toute autre perspective de l’existence. Je l’ai vécu. Il m’a redéfinie, reconstruite, renforcée. Et moi qui n’ai jamais eu une grande confiance en moi, je me surprends chaque jour à embrasser ce rôle avec une certitude tranquille. Être ta mère, c’est une évidence, une mission que je porte avec la plus grande fierté.

Je ferai tout pour toi. Toujours.

Ma douce, mon amour, mon bébé, merci d’être là. Merci d’exister.

Maman.

Une tenue confortable et pleine de douceur

Pour ce look adorable et pratique, j’ai choisi deux pièces douces et intemporelles qui allient style et confort pour nos petits explorateurs. La pièce maîtresse est cette salopette soft touch de chez Zara, parfaite pour les journées fraîches grâce à son tissu moelleux et sa coupe confortable. Le t-shirt manches longues couleur orange, avec ses motifs subtils, apporte une touche de chaleur et de gaieté à l’ensemble. Ce haut provient de chez Hema, mais malheureusement, je n’ai plus le lien exact.

 

Enfin, pour une touche un peu plus sentimentale, cette jolie petite peluche a une histoire spéciale. Elle a été dénichée lors d’un voyage en Espagne que nous avions fait en amoureux pendant ma grossesse. 

  • Découvre la salopette chez : Zara
  •  Le t-shirt est disponible chez : Hema

 

À bientôt,

Le Muuch.

Pourquoi j’ai commencé l’aquarelle ?

Pourquoi commencer l’aquarelle ?

J’ai toujours admiré les artistes capables de peindre avec aisance, de créer des nuances parfaites, de jouer avec la lumière et la transparence. Mais soyons honnêtes : j’ai toujours eu du mal avec le temps que prend le processus d’apprentissage. J’aime quand les choses fonctionnent vite, bien, tout de suite. Et forcément, avec l’aquarelle, c’est un peu l’opposé.

Dès les premières minutes, j’ai compris que je n’allais pas tout maîtriser immédiatement. L’eau décide, les pigments voyagent librement sur le papier, et parfois… c’est un désastre. D’autres fois, c’est magique. Ce jeu entre frustration et émerveillement me fascine. Et cette fois, j’ai décidé de persévérer.

Un art spontané et libérateur

L’aquarelle, c’est un peu comme une conversation avec l’eau : on suggère une direction, mais c’est elle qui a le dernier mot. Pas de contrôle total, pas de filet de sécurité. Et c’est ce qui me plaît. Il faut apprendre à laisser faire, à accepter l’imprévu, à transformer les accidents en opportunités.

Au début, ça peut être frustrant. On rêve d’un ciel délicatement dégradé, et on obtient une flaque informe. Mais peu à peu, on découvre que chaque tache, chaque fusion de couleur a son propre charme. Et c’est en lâchant prise qu’on commence à vraiment s’amuser.

Une pause douce et apaisante

Dans un monde où tout va vite, où on est constamment sollicité, peindre à l’aquarelle, c’est comme ralentir le temps. Regarder les pigments se fondre, attendre que l’eau sèche, observer les nuances se révéler… Tout cela demande de la patience. Et c’est peut-être la plus grande leçon de cet art : accepter le rythme naturel des choses.

Je ne vais pas mentir : j’ai du mal avec ça. Mais j’apprends. À ne pas vouloir tout réussir immédiatement. À apprécier le processus autant que le résultat. Et à trouver dans chaque essai une petite victoire.

Un matériel minimaliste et accessible

Un autre point qui m’a séduite : pas besoin d’un atelier énorme ni d’un budget délirant. Une petite boîte d’aquarelle, un pinceau, un carnet, et c’est parti ! Et en plus, on peut peindre partout : chez soi, en voyage, en terrasse…

J’adore cette liberté. Pas besoin de préparer des tonnes de matériel. On ouvre sa boîte, on ajoute un peu d’eau, et on plonge directement dans la couleur.

Un apprentissage joyeux (et parfois frustrant)

Je ne vais pas vous mentir : il y aura des ratés. Des mélanges de couleurs boueux, des auréoles indésirables, des papiers qui gondolent… Mais chaque erreur est une leçon. Et petit à petit, on progresse.

Je partage ici mes découvertes, mes échecs et mes petites victoires, en espérant que ça vous encouragera aussi. Loin de l’image parfaite qu’on voit sur Instagram, l’aquarelle est un apprentissage, une exploration. Et cette fois, je choisis de savourer chaque étape, plutôt que de me focaliser sur un résultat immédiat.

Lancez-vous !

Si l’aquarelle vous tente, n’attendez pas d’être « prêt ». Prenez un pinceau, testez, laissez-vous surprendre. Il n’y a pas de bonne ou de mauvaise façon de commencer, il y a juste le plaisir de découvrir.

Dans les prochains articles, je partagerai mes trouvailles sur le matériel, les petites astuces qui m’auraient évité bien des frustrations, et mes premiers essais (les réussis comme les ratés !). J’espère que ce voyage coloré vous inspirera autant qu’il m’inspire déjà.

Et vous, avez-vous déjà testé l’aquarelle ? Racontez-moi vos expériences en commentaire, j’adore échanger sur nos parcours !

À bientôt,

Le Muuch.

Le jogging en maille beige tout doux

Bienvenue dans cette nouvelle aventure mode sur Le Muuch Atelier, où les tout-petits aussi ont droit à leurs moments de style ! Aujourd’hui, je vous présente un look bébé aussi douillet que charmant, parfait pour une journée cocooning à la maison ou une petite sortie hivernale.

L’élément phare ? Un ensemble de survêtement en maille beige de chez Zara, qui pourrait presque donner envie de s’habiller en coordonné avec son enfant (mais ce n’est pas vraiment le style de la maison). Il est doux, pratique et tellement adorable avec sa petite poche kangourou.

Pour donner un peu de peps à cette palette très douce, j’ai ajouté un bonnet rayé rouge et beige déniché chez Hema. Je trouve que ça apporte un éclat à l’ensemble, une cerise sur un gâteau… ou plutôt un bonnet sur une bouille à croquer.

Et pour les pieds, rien de mieux que ces chaussons ultra-doux de chez UGG, trouvés en seconde main. Ils ont un petit côté « cocooning chic » qui me fait fondre. 

Un look pensé pour une journée cocooning

Ce petit ensemble n’est pas juste une tenue, c’est une invitation à ralentir. À passer du temps à jouer, à rire, ou à observer les flocons tomber derrière la fenêtre (même si, avouons-le, ça finit souvent avec une sieste).

Si ce look vous plaît, vous pouvez le retrouver ici :

  • Ensemble beige Zarapull & pantalon
  • Bonnet rayéHema
  • Chaussons UGG : pièce unique trouvée en seconde main sur Vinted, mais à vous de jouer les chasseurs de trésors !
 

Et vous, c’est quoi votre tenue fétiche pour une journée cocooning avec bébé ? Je serais curieuse de découvrir vos idées ou vos inspirations.

Merci d’avoir pris le temps de plonger dans ce petit univers cosy, et à très vite pour un nouveau look tout aussi douillet.

 

À bientôt !

Le Muuch.

Le Muuch Atelier : L’histoire derrière le projet

Il y a des moments dans la vie où l’on ressent un besoin profond de changer, de se redécouvrir, de donner un nouveau sens à ses activités et à ses passions. C’est exactement ce qui m’a poussée à créer Le Muuch Atelier, un projet qui rassemble tout ce que j’aime : partager, organiser mes idées et mes activités, personnaliser des espaces, raconter des histoires et les illustrer. Aujourd’hui, j’ai envie de vous emmener avec moi dans l’histoire de ce projet qui me tient tant à cœur.

Pourquoi “Le Muuch” ?

Le nom de mon atelier n’a rien d’anodin. En langue maya, “Muuch” signifie “petite grenouille”. Pour moi, ce n’est pas qu’une simple traduction ; c’est un symbole profond de transformation et de renouveau. Cette petite grenouille est liée à un lieu très cher à mon cœur : un hôtel magnifique à Valladolid, au Mexique, qui porte ce nom. C’est là que mon compagnon m’a demandée en mariage. Ce moment magique, empreint d’amour et de promesses, est devenu une source d’inspiration puissante pour moi.

Les grenouilles, dans de nombreuses cultures, sont associées au changement, à l’adaptation et à la croissance. Elles me rappellent que chaque étape de la vie est une transformation, que chaque projet, chaque rêve, peut évoluer pour devenir quelque chose de plus grand. C’est exactement ce que je souhaite accomplir avec Le Muuch Atelier : capturer ces étapes, les partager, et en faire des histoires créatives et inspirantes.

Créer pour partager et progresser

Partager, pour moi, c’est une manière de rester constante dans mon parcours. En documentant pas à pas mes objectifs et mes réalisations, je peux mesurer ma progression, célébrer les petites victoires et apprendre de chaque étape. Que ce soit par le graphisme, la photographie, la peinture ou même la couture, je trouve une immense satisfaction à donner vie à mes idées et à les transformer en quelque chose de tangible.

J’aime également créer des espaces uniques, que ce soit un coin de ma maison, une mise en page graphique ou une atmosphère capturée dans une photographie. Tout cela raconte une histoire, reflète une émotion. Avec Le Muuch Atelier, je souhaite non seulement explorer ces passions, mais aussi les partager avec vous, pour peut-être vous inspirer dans vos propres projets.

Un atelier, une aventure

Le Muuch Atelier est bien plus qu’un simple projet artistique, c’est une aventure personnelle. C’est un espace pour explorer, créer, et évoluer. En choisissant de le partager ici, sur ce blog, je me fixe un objectif clair : celui de documenter chaque pas de cette aventure. Non seulement pour garder une trace de ma progression, mais aussi pour montrer que chaque chemin, même semé d’embûches, peut mener à quelque chose de beau.

Alors bienvenue dans cet univers qui me ressemble, où la créativité rencontre l’émotion, où chaque projet raconte une histoire, et où chaque pas compte.

À bientôt !

Le Muuch.

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